• Troisième : Remix. {+16}

     

    Attention ; Les réécritures de ces parties de 
    texte peuvent choquer les plus jeunes. Tout 
    ce qui suit vient d'une bonne partie de
    rigolade entre amis et rien de plus. Âmes
    sensibles s'abstenir, vous êtes prévenus.
    Je ne serai en aucun cas responsable de
    quelconque "traumatisme" lié à ce qui suit.

     

     

     

        PREMIER. 

      

    L'original, par Sophocle (Οἰδίπoυς τύραννoς)Oedipe Roi quoi, tu connais les bails frère

     

    « LE CORYPHÉE. - Pourquoi Sort-elle ainsi, Oedipe ? On dirait qu'elle a sursauté sous une douleur atroce. Je crains qu'après un tel silence n'éclate quelque grand malheur.

    OEDIPE. - Eh ! qu'éclatent donc tous les malheurs qui voudront ! Mais mon origine, humble soit-elle, j'entends, moi, la saisir et la violer tendrement. Dans son orgueil de femme, elle rougit sans doute de mon obscurité : je me tiens, moi, pour fils de la Fortune, Fortune la Généreuse, et n'en éprouve point de honte. c'est Fortune qui lut ma mère, et les années qui ont accompagné ma vie m'ont fait tour à tour et petit et grand. Voilà mon origine, rien ne peut la changer : pourquoi renoncerais-je à savoir de qui je suis né ? » — 430 et 420 avant J.-C

    Le remix, par Axel Air et moi-même : 
    (À entrer ici, avec la voix de FRENCH Antoine FromAfar) 

     

    « LE CORYPHÉE. - Pourquoi Sort-elle ainsi, Oedipe ? On dirait une pute. On dirait qu'elle a sursauté sous une douleur atroce. Comme ma bite. Je crains qu'après un tel silence n'éclate quelque grand malheur.

    OEDIPE. - Eh ! qu'éclatent donc tous les malheurs qui voudront ! Mais mon origine, humble soit-elle, j'entends, moi, la saisir et la violer tendrement. Dans son orgueil de femme, elle rougit sans doute de mon obscurité : je me tiens, moi, pour fils de la Fortune, Fortune la Généreuse, et n'en éprouve point de honte. c'est Fortune qui lut ma mère, et les années qui ont accompagné ma vie m'ont fait tour à tour et petit et grand., parce que je suis pédophile. Voilà mon origine, rien ne peut la changer : pourquoi renoncerais-je à savoir de qui je suis né ? Attends je le refais c'était de la merde. Eh ! qu'éclatent donc tous les malheurs qui voudront ! Mais mon origine, humble soit-elle, j'entends, moi, la saisir et la violer tendrement. Dans son orgueil de femme, elle rougit sans doute de mon obscurité : je me tiens, moi, pour fils de pute, pute la Généreuse, et n'en éprouve point de honte. c'est cette pute qui fut ma mère, et les années qui ont accompagné ma bite on fait tout le tour des petits et grands, parce que je suis pédophile. Voilà mon origine, rien ne peut la changer : pourquoi renoncerais-je à savoir de qui je suis né ? » — 29/10/14

     


     

     

        DEUXIÈME

     

    L'original, par Sophocle
    Jensaisplusquoicestlenom : 

     

    « Oedipe apparaît, la face sanglante, cherchant. sa route à tâtons. Mélodrame.

    LE CORYPHÉE. - ô disgrâce effroyable à voir pour des mortels - oui, laplus effroyable que j'aie jamais croisée sur mon chemin ! Quelle démence,infortuné, s'est donc abattue sur toi ? Quel Immortel a fait sur ta triste fortune un bond plus puissant qu'on n'en fit jamais ? Ah ! malheureux ! non, je ne puis te regarder en face. Et cependant, je voudrais tant t'interroger, te questionner, t'examiner...Mais tu m'inspires trop d'effroi !

    OEDIPE. - Hélas ! hélas ! malheureux que je suis ! Où m'emportent mes pas, misérable ? Où s'envole ma voix, en s'égarant dans l'air ? Ah ! mon destin, où as-tu été te précipiter ?

    LE CORYPHÉE. - Dans un désastre, hélas !effrayant à voir autant qu'à entendre.

    Agité.

    OEDIPE. - Ah ! nuage de ténèbres. nuage abominable, qui t'étend sur moi,immense, irrésistible, écrasant. Ah ! comme je sens pénétrer en moi tout ensemble et l'aiguillon de mes blessures et le souvenir de mes maux !

    LE CORYPHÉE. - Nul assurément ne sera surpris qu'au milieu de telles épreuves tu aies double deuil, double douleur à porter.

    OEDIPE. - Ah ! mon ami, tu restes donc encore, toi seul, à mes côtés ? Tu consens donc encore à soigner un aveugle ? Ah ! ce n'est pas un leurre : du fond de mes ténèbres, je reconnais ta voix.

    LE CORYPHÉE. - Oh ! qu'as-tu fait ? Comment as-tu donc pu détruire tes prunelles ? Quel dieu poussa ton bras ?

    OEDIPE. - Apollon, mes amis ! oui, c'est Apollon qui m'inflige à cetteheure ces atroces, ces atroces disgrâces qui sont mon lot, mon lotdésormais. Mais aucune autre main n'a frappé que la mienne, malheureux.'Que pouvais-je encore voir dont la vue pour moi eût quelque douceur ?

    LE CHOEUR. - Las ! Il n'est que trop Vrai !

    OEDIPE. - Oui, que pouvais-je voir qui me pût satisfaire ? Est-il un appel encore que je puisse entendre avec joie ? Ah ! emmenez moi loin de ces lieux bien vite ! emmenez, mes amis,l'exécrable fléau, le maudit entre les maudits, l'homme qui parmi les hommes est le plus abhorré des dieux !

    LE CORYPHÉE. - Ton âme te torture autant que ton malheur. comme j'aurais voulu que tu n'eusses rien su !

    OEDIPE. -- Ah ! quel qu'il fût, maudit soit l'homme qui, sur l'herbe d'unpâturage, me prit par ma cruelle entrave, me sauva de la mort, me rendit àla vie ! Il ne fit rien là qui dût me servir.Si j'étais mort à ce moment, ni pour moi ni pour les miens je ne fussedevenu l'affreux chagrin que je suis aujourd'hui. » — 430 et 420 avant J.-C

     

     

    Le remix, par Axel Air : 
    (À entrer ici, avec la voix de Antoine FromAfar, ou 
    de Antoine (french tous les deux.)) 

     

    « Narration ma gueule : Oedipe apparaît, la face sanglante, cherchant ma bite à tâtons sur sa route. Mélodrame.

    LE CORYPHÉE. - ô disgrâce effroyable à voir pour des mortels nécrophiles - oui, la plus effroyable pute que j'aie jamais croisée sur mon chemin ! Quelle démence, infortuné, s'est donc abattue sur toi ? Quel Immortel a fait sur ta triste fortune un bond plus puissant qu'une sodomie ? Ah ! malheureux ! non, je ne puis te regarder en face mais par derrière oui. Et cependant, je voudrais tant t'enculer, te questionner, t'examiner bien profond... Mais tu m'inspires trop d'effroi !

    OEDIPE. - Hélas ! hélas ! malheureux que je suis ! Où m'emportent mes pas, misérable ? Où s'envole ma voix, en s'égarant dans ton cul ? Ah ! mon destin, où as-tu été te faire violer ?

    LE CORYPHÉE. - Dans un gang bang, hélas ! effrayant à voir autant qu'à entendre. Agité.

    OEDIPE. - Ah ! nuage de ténèbres. nuage abominable, qui t'étend sur moi, immense, irrésistible, écrasant comme ma planète TMTC. Ah ! comme je sens pénétrer en moi ta bite HEHEHEM tout ensemble et l'aiguillon de mes blessures et le souvenir de mes maux !

    LE CORYPHÉE. - Nul assurément ne sera surpris qu'au milieu de telles épreuves tu aies joui tel une pucelle, double pénétration à porter.

    OEDIPE. - Ah ! mon ami, tu restes donc encore, toi seul, à mes côtés ? Tu consens donc encore à soigner un pédo sado masochiste ? Ah ! ce n'est pas un leurre : du fond de mon cul, je reconnais ta voix.

    LE CORYPHÉE. - Oh ! qu'as-tu fait ? Comment as-tu donc pu détruire mon cul si violemment? Quel dieu poussa ton poing ?

    OEDIPE. - Apollon, mes amis ! oui, c'est Apollon qui me saute à cette heure ces atroces, ces atroces grosse et bonne qui sont mon lot, mon lot désormais. Mais aucune autre main n'a fappé que la mienne, malheureux.' Que pouvais-je encore voir dont la vue pour moi eût quelque douceur ?

    LE CHOEUR. - Las ! C’est trop ça ma gueule !

    OEDIPE. - Oui, que pouvais-je voir qui me pût satisfaire ? Est-il un appel encore que je puisse entendre avec joie ? Ah ! emmenez moi loin de ces lieux bien vite ! emmenez, mes amis, l'exécrable fléau, le maudit entre les maudits, l'homme qui parmi les hommes est le plus sodomisé des dieux !

    LE CORYPHÉE. - Ton âme te pénètre autant que ton malheur. Comme j'aurais voulu te pénétrer et que tu ne l'aurai pas su je l'aurai fait dans ton MDR !

    OEDIPE. -- Ah ! quel qu'il fût, maudit soit la bite qui, sur l'herbe d'un pâturage, me prit par derrière, me sauta comme la mort, me rendit à la vie ! Il ne fit rien là qui sut me faire jouir. Si j'étais mort à ce moment, ni pour moi ni pour les miens je ne fusse devenu l'affreux chagrin que je suis aujourd'hui. Et il aurait été nécrophile.

    TADAAAAAM C’EST FINIII ! » — 29/10/14

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